Part 1- Conférence de presse – Réunion des chefs de gouvernement de la CARICOM, Belize, 2 mars 2022
Transcrip
If I could ask as a follow up, sir, but we know that one of the the elephants in the room in this region are the barriers to trade. And these are very real and we know that there is for a number of reasons, cultural among them, antipathy towards products produced in the region.
And many times we favour imported products from outside the region. We know the well known case, taken to court as quoted on the CCJ of Belize and Trinidad over sugar, subject very near to you.
How do we make the tariffs functional so that we can create a marketplace or a commercial space for our products to truly move freely and more cheaply across borders.
The Chairman of CARICOM , John Antonio
That’s something that that has started us as heads. Today we all made a commitment once again to be able to try to move that integration even more or certainly faster. Because we are realising that by doing that, our people benefit and we also have to appeal to or to the private sector or individual countries.
As you pointed out with with sugar. In Belize, we have made the necessary adjustments and changes to be able to meet the requirements. And it goes both ways. And more than ever.
I believe that because of the shocks that we’ve been getting the economic shocks over the past two years, I believe that now there is a renewed commitment to the single market integration in the Caribbean, I would ask Prime Minister Motley to add a little bit more as she has been doing most of the heavy lifting, with this Prime Minister?!
Prime Minister Motley
Thank you very much, Mr. Chairman. First of all, before I answer let me thank you and the people of Belize, for your wonderful hospitality in hosting us as CARICOM heads of government and our delegations. Over the last two days it has been indicated to me that you handled it with a level of efficiency.
Such that this is a first press conference and participation in the like the CARICOM heads of government meeting. let me say that with respect just to give some context, the 25 by 25 came as a result of the regional agricultural ministers meeting in Bridgestown in 2018.
And we indicated then that we really as a region needed to recognise that food and water were becoming the new oil and that we needed to be able to reduce the volume of imports while at the same time increasing the opportunities for our agricultural sector, our farmers in particular, but at the same time seeking to do two other things, one, reduce the cost of food and to encourage our people to eat more
locally grown food that would be better for them and would help us in reducing the bills we hope in the long run medium to long term that we spend in fighting chronic non communicable diseases.
There’s too much diabetes, there’s too much hypertension.
There’s too much stroke all of these things our populations are facing I therefore I’m more than happy to say that President dally who has responsibility in the quasi cabinet for agriculture and food security, was able to move with dispatch, even in the midst of a pandemic over the course of the last year to bring together the ministers of agriculture, to work with finances to meet with companies dealing with possibilities for crop insurance, to deal with the barriers that you spoke about.
Transcription
Si vous me le permettez, monsieur, nous savons qu’il y a un énorme problème dans cette région qui sont les obstacles au commerce. Et ceux-ci sont très réels et nous savons qu’il y a, pour un certain nombre de raisons culturelles parmi elles, de l’antipathie envers les produits fabriqués dans la région.
Et souvent, nous privilégions les produits importés de l’extérieur de la région. Nous connaissons bien le cas judiciaire de la CCJ de Belize et de Trinidad concernant le sujet du sucre importés.
Comment pouvons-nous rendre les tarifs fonctionnels afin que nous puissions créer un marché ou un espace commercial pour que nos produits puissent vraiment circuler librement et à moindre coût à travers les frontières.
Le président de CARICOM , John Antonio répond:
C’est quelque chose qui nous concerne et aujourd’hui nous nous sommes tous engagés une fois de plus, afin de faire avancer cette intégration plus rapidement. Parce que nous nous rendons compte qu’en faisant cela, notre population en bénéficie et nous devons également faire appel au secteur privé ou à des pays individuels.
Comme vous l’avez souligné avec le sucre. A Belize, nous avons apporté les ajustements et les changements nécessaires pour pouvoir répondre aux exigences locales. Et cela va dans les deux sens. Et plus que jamais je crois qu’en raison des chocs économiques que nous avons subis au cours des deux dernières années, je crois que maintenant, il y a un engagement renouvelé en faveur de l’intégration du marché unique dans les Caraïbes.
Je demanderais a la première ministre Motley d’ajouter quelques mots, concernant cette intégration car elle a fait la plupart du gros du travail. Madame la première ministre, je vous passe la parole.
La première ministre Motley s’exprime:
Merci beaucoup, monsieur le président. Tout d’abord, avant de répondre, permettez-moi de vous remercier, vous et le peuple de Belize, pour votre merveilleuse hospitalité en nous accueillant en tant que chefs de gouvernement de la CARICOM et nos délégations. Au cours des deux derniers jours, il m’a été indiqué que vous l’avez géré avec un certain niveau d’efficacité.
Permettez-moi de dire, afin de donner un contexte, que les résultats de 25 par 25 ont été obtenus à la suite de la réunion des ministres régionaux de l’agriculture à Bridgetown en 2018.
Et nous avons reconnu que nous devions vraiment, en tant que région, reconnaître que la nourriture et l’eau deviendraient le nouveau pétrole et que nous devions être en mesure de réduire le volume des importations tout en augmentant les opportunités pour notre secteur agricole, et pour nos agriculteurs en particulier, mais en cherchant en même temps à faire deux autres choses.
Premièrement, réduire le coût de la nourriture et encourager nos peuples à manger plus d’aliments cultivés localement.
Ce qui serait meilleurs pour eux et ce qui nous aiderait à réduire les factures essentiellement liées à la lutte contre les maladies chroniques non transmissibles, sur du moyen et du long terme.
Il y a trop de diabète, il y a trop d’hypertension.
Il y a trop d’AVC, toutes ces choses auxquelles nos populations sont confrontées.
Reference
www.youtube.com. (n.d.). Press Conference – CARICOM Heads of Government Meeting, Belize, 2 March 2022. [online] Available at: https://www.youtube.com/watch?v=Euj3pvQGm8U [Accessed 26 Aug. 2022].